Le 27 juin 2021, il a eu 95 ans Mel Brooks, une institution, auteur de longs métrages au style inimitable et résistant au temps. En près d’un siècle, elle a définitivement changé la manière de faire des films, également par des voies surprenantes : nous en indiquons quatre.
Mel Brooks : influence au cinéma et au-delà
En 1975, le Aérosmith ils enregistraient une chanson autour d’un riff de guitare de Joe Perry. Il n’y avait qu’un problème : ils n’avaient pas de textos et même pas un Titre.
On ne sait pas s’ils imaginaient s’inspirer en quittant le studio pour assister Jeune Frankenstein par Mel Brooks, mais ils l’ont sûrement trouvé quand ils ont vu Marty Fedlman saluer Gene Wilder à la porte du château et lui demander de le suivre.
Boitant, il lui dit : « Marche par ici », donnant sa canne à Wilder pour qu’il puisse marcher dans cette direction. Prend cette voie est devenu le titre de la chanson d’Aerosmith, un single à succès, le créateur du retour du groupe.
Avant que Hamilton ne supprime tous les enregistrements d’IA Tony Awards, l’adaptation de Les producteurs de Mel Brooks a été la comédie musicale la plus récompensée de tous les temps avec 12 victoires. Les producteurs de Broadway ont tenté de capitaliser sur ce succès, inondant les théâtres de réinterprétations musicales imaginatives de films.
Mel Brooks a un penchant à part entière pour l’horreur. Il a produit Le docteur et les diables (1985) et mettait en vedette le David le plus dérangeant du tournage, aidant à lancer la carrière de David Lynch avec The Elephant Man aussi David Cronenberg, par des travaux expérimentaux. D’ailleurs, son fils Max est connu pour ses travaux sur les zombies : rien d’étrange, vu les passions de son père Mel Brooks.
Enfin, la scène de flatulence des cow-boys qui, en Douze heures et demie du feu, ils mangent des haricots au bivouac a dédouané une certaine forme d’humour, aussi simple qu’efficace. À l’époque, les dirigeants voulaient couper, pour changer d’avis.