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Mancini comme Braveheart: c’est ainsi que l’Écosse encourage l’Italie lors de la finale de l’Euro2020

Roberto Mancini est le nouveau héros écossais après William Wallace

Roberto Mancini, Commissaire technique de l’équipe de football italienne actuelle, et entraîneur et footballeur historique entre 1981 et 2001, il est déjà une idole pour l’Écosse, comme le rapporte Sky Sport. Si vous vous demandez pourquoi, il est facile de dire : pour les non-initiés, la finale du Européenne 2020 du football, qui verra le choc direct, au stade de Wimbledon, entre l’Italie et l’Angleterre. On sait à quel point les Écossais sont fiers et qu’ils ont depuis des siècles une haine particulière envers les Anglais. Cette attitude s’est également intensifiée depuis que les habitants de Boris Johnson s’est séparé de‘Union européenne avec le Brexit.

Mancini

C’est pourquoi l’Écosse, à 21h00, heure italienne, encouragera l’Italie avec tout le cœur et l’âme nécessaires. Le soutien à notre péninsule, cependant, ne s’est pas limité à une communauté d’esprit et a été célébré de manière flagrante avec la couverture du journal de l’indépendance écossaise, Le National, qui voit son protagoniste Roberto Mancini composé comme William Wallace, héros de guerre protagoniste du célèbre Braveheart – Cœur sans peur de Mel Gibson, film sur la lutte pour l’indépendance que l’Ecosse a menée contre l’Angleterre dans la seconde moitié du XIIIe siècle Edouard Ier Plantagenêt.

Les citations cinématographiques, cependant, ne s’arrêtent pas là puisque les mots sous le visage de Mancini se réfèrent également au monde de Guerres des étoiles: « Sauve-nous Roberto, tu es notre dernier espoir » fait évidemment du verset un « Sauvez-nous Obi-Wan Kenobi, vous êtes notre dernier espoir », l’attrait bien connu de la Princesse Leia Organa (Carrie Fisher) sous la forme d’un hologramme qu’il a envoyé au puissant Maître Jedi. Quoi dire? Non seulement c’est un plaisir de voir le soutien de l’Ecosse, mais c’est encore plus amusant de voir leurs hommages au Septième Art vers deux titres qui, de différentes manières, ont totalement changé l’histoire du médium cinématographique.

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