Grands films au choix pour la semaine de fin novembre.
Extrait du film d’animation Les Pingouins de Madagascar, par Simon J. Smith Et Eric Darnell, au film lauréat du dernier Festival du Film de Rome, Trash di Stéphane Daldry, de la comédie du trio Ciarrapico, Torre, Vendruscolo, Chaque putain de Noël, à l’horreur en tant que CUB – Little Prey, par Jonas Govaerts, et le film d’action Les Vikings de Claudio Faeh, en plus de mon père, de Giulio Base.
Vous avez l’embarras du choix.
Les Pingouins de Madagascar (bande-annonce, critique de film), réalisé par Simon J. Smith, Eric Darnell, avec John Malkovich, Benedict Cumberbatch, Tom McGrath, Christopher Knights, Chris Miller Conrad Vernon, Peter Stormare, Ken Jeong, Annet Mahendru, Andy Richter.
Skipper le meneur, Kowalski le cerveau, Soldat le jeune homme consentant, Rico L’Expert en Armes : En tant qu’agents spéciaux extraordinaires, leur mission sera de résoudre une affaire compliquée d’espionnage, en faisant équipe avec l’organisation secrète « North Wind », dirigée par un loup.
Nos héros vont-ils unir leurs forces et briser le plan délirant du docteur maléfique Octavius Brine?
Et n’oubliez pas : mignon et câlin !
Trash (revue), réalisé par Stéphane Daldry, avec Rickson Tevez, Eduardo Luis, Gabrielle Weinstein, Martin Sheen, Rooney Mara, Wagner Moura, Selton Mello, André Ramiro, Jesuita Barbosa, Daniel Zettel, Nélson Xavier, Maria Eduarda, José Dumont, Gisele Fróes, Stepan Nercessian, Gabriel Weinstein.
Lauréat du Prix du public BNL – Gala du dernier Festival international du film de Rome, le film met en scène deux garçons qui trient les déchets dans les favelas de Rio ; un jour, ils trouvent un portefeuille au milieu des débris quotidiens de leur décharge locale et s’empressent d’imaginer que leur vie changera à jamais.
Mais quand la police locale se présente, leur offrant une grosse récompense en échange de leur portefeuille, les garçons, Rafael (Rickson Tevez) e Gardo (Luis Eduardo), ils réalisent l’importance de leur découverte. Avec l’aide de leur ami Rato (Gabriel Weinstein), le trio se lance dans une aventure extraordinaire en essayant de conserver son portefeuille, d’échapper à la police et de découvrir les secrets qu’ils cachent.
En cours de route, les enfants devront repérer les amis des ennemis alors qu’ils tentent de reconstituer l’histoire du portefeuille et de retrouver son propriétaire. José Angelo (Wagner Moura), réalisant qu’il ne peut pas faire confiance à la police, menée par le dangereux Frédérico (Selton Mello). Mais un couple de missionnaires américains travaillant dans leur favela – les désabusés Père Julliard (Martin Sheen) et son jeune assistant Olivier (Rooney Mara) – pourrait les orienter sur la bonne voie.
Chaque Noël maudit (bande-annonce, critique), réalisé par Giacomo Ciarrapico, Mattia Torre, Luca Vendruscolo, avec Alessandro Cattelan, Marco Giallini, Corrado Guzzanti, Alessandra Mastronardi, Valerio Mastandrea, Laura Morante, Francesco Pannofino, Caterina Guzzanti, Andrea Sartoretti, Stefano Fresi.
Maximum Et Julienne ils ont des histoires et des vies très différentes. Quand ils se rencontrent, cependant, c’est le coup de foudre. Il n’y a qu’un seul problème : Noël approche de mauvais augure. La décision de passer les vacances avec leurs familles respectives s’avérera être une catastrophe insoupçonnée aux implications tragi-comiques. Leur amour survivra-t-il à Noël ?
CUB – Piccole Preede (bande-annonce), réalisé par Jonas Govaerts, avec Maurice Luijten, Titus De Voogdt, Stef Aerts, Evelien Bosmans, Jan Hammenecker.
Sam, un garçon de douze ans, se rend au camp d’été habituel avec les autres scouts. Introverti et mystérieux, le petit Sam est incapable de se lier d’amitié avec d’autres qui le marginalisent et se moquent de lui. Au fur et à mesure que les blagues contre le garçon deviennent de plus en plus lourdes, nous commençons à comprendre que la victime est moins sans défense que prévu et le groupe se rendra vite compte qu’il tourmente le mauvais scout…
Les Vikings (bande-annonce, critique de film), réalisé par Claudio Faeh, avec Tom Hopper, Ryan Kwanten, Ken Duken, Charlie Murphy, Ed Skrein, Anatole Taubman, Johan Hegg, James Norton, Leo Gregory, Bettina Kenney, Danny Keogh, Joe Vaz, Nic Rasenti, Darrell D’Silva, Richard Lothian, Daniel Janks, Marc Strépan.
9e siècle après JC Un groupe de raiders vikings, sous le commandement du jeune chef Asbjörn (Tom Hopper), met le cap sur les côtes bretonnes pour piller Lindisfarne de son or. Cependant, une violente tempête fait voler en éclats leur navire au large des côtes écossaises et laisse les Vikings piégés en territoire ennemi. Leur seule chance de survie est d’atteindre le bastion viking de Danelage. Dommage que le voyage se transforme en course contre la montre, à cause des mercenaires les plus redoutés envoyés sur leur piste par le roi d’Écosse.
Perfidia, réalisé par Bonifacio Angius, avec Stefano Deffenu, Mario Olivieri, Noemi Medas, Alessandro Gazale, Andrea Carboni, Domenico Montixi.
Présenté au dernier Locarno Film Festival, l’histoire voit le protagoniste Ange (Stefano Deffenu), des promenades, plongés dans l’hiver gris d’une ville de province anonyme.
Sans amour ni travail, il passe ses journées dans un bar de banlieue miteux, rêvant, même la plus banale des vies normales.
Peppino (Mario Olivieri), est un père qui ne s’est jamais intéressé à son fils ; il est conscient qu’il n’a plus beaucoup de temps à vivre.
Après la mort de sa femme, Peppino remarque son fils Angelo et se rend compte qu’il ne sait même pas qui il est.
Viviane (bande-annonce, critique), réalisé par Ronit Elkabetz, Shlomi Elkabetz, avec Ronit Elkabetz, Menashe Noy, Simon Abkarian, Sasson Gabai, Eli Gornstein, Gabi Amrani, Rami Danon, Roberto Polak, Dalia Beger, Albert Iluz, Shmil Ben Ari, Abraham Celektar, Evelin Hagoel, Keren Mor, David Ohayon.
Choisi par Israël comme nominé aux Oscars 2015, et présenté avec succès aux Festivals de Cannes (Quinzaine des Réalisateurs), de Toronto et de San Sebastian, le film raconte l’histoire de Viviane (Ronit Elkabetz), une femme qui depuis trois ans tente en vain de divorcer de son mari Elisha, devant la seule autorité en Israël qui peut le lui accorder : le tribunal rabbinique. L’obstination de Viviane à conquérir sa propre liberté se heurte à l’intransigeance d’Elisée et au rôle ambigu des juges. Les témoins convoqués par les parties défilent devant le tribunal, tandis que le « procès » s’éternise avec ses contours à la fois dramatiques et absurdes.
Melbourne, réalisé par Nima Javidi, avec Peyman Moaadi, Negar Javaherian, Mani Haghighi, Shirin Yazdanbakhsh, Elham Korda, Roshanak Gerami, Alireza Ostadi.
Présenté à la dernière Mostra de Venise, dans la section Semaine de la Critique, l’histoire raconte Émir (Payman Maadi) et Sara (Negar Javaherian) déménagent à Melbourne pour poursuivre leurs études.
Dans les quelques heures qui les séparent du vol, les deux s’occupent des dernières choses dans leur appartement. Avec eux, la fille nouveau-née des voisins est dans la maison : la nounou a dû sortir et l’a confiée au couple.
Alors que les préparatifs du départ se poursuivent, et après avoir appelé le père de la petite fille pour qu’il vienne la chercher, Amir et Sara vont devoir faire face à un événement tragique qui menace de bouleverser leur vie.
Ici, dirigé par Danièle Gaglianone.
Ce documentaire, présenté au dernier Festival de Turin, est une histoire subjective de dix habitants du Val Susa, qui proposent leurs histoires, entremêlées avec le mouvement NO TAV, un mouvement d’opposition à la construction de la ligne ferroviaire Turin-Lyon.
Une analyse de la façon dont ces personnes ont été abandonnées à leur sort, par l’État, et qu’elles doivent composer seules avec la police.
Mon papa (bande-annonce, critique), réalisé par Giulio Base, avec Giorgio Pasotti, Donatella Finocchiaro, Niccolò Calvagna, Fabio Troiano, Ninetto Davoli, Emanuela Rossi, Valerio Base.
Présenté au dernier Festival international du film de Rome, l’histoire est tout au sujet de Laurent (Giorgio Pasotti) est un homme qui aime la liberté, il travaille comme plongeur sur une plate-forme non loin de la côte adriatique, dans sa profession il est l’un des meilleurs, mais il ne veut aucune connexion et s’il descend à le continent c’est juste pour le plaisir. Jusqu’à ce qu’un soir il rencontre Claudia (Donatella Finocchiaro), belle, différente des autres.
Avec elle c’est tout de suite la passion, peut-être l’amour, mais Claudia n’est pas seule : elle a un fils, Mattéo (Niccolò Calvagna) six ans.
Lorenzo y voit d’abord un obstacle, mais après quelques affrontements une sorte de complicité, d’affection, une véritable relation entre père et fils naît entre les deux.
Le destin amènera les événements à une conclusion inattendue.
Maître de l’Univers, dirigé par Marc Bauder.
Dans un gratte-ciel du siège de la place financière de Francfort, Rainer Voss est racontée sur grand écran, dans un documentaire de Marc Bauder.
Ancien « maître de l’univers », courtier travaillant pour une société d’investissement dont le seul objectif est de produire toujours plus d’argent, il dévoile les mécanismes qui ont conduit à la grande crise financière européenne.