Il y avait une grande attente au Festival de cinéma de Turin pour le film de Woody Allen
Une scène de Magic in the Moonlight
L’un veut démasquer l’autre, poussé par ses convictions profondes, convaincu que Dieu, la magie, peut-être même le coup de foudre, n’existent pas, mais ainsi il est condamné à une vie de pessimisme et de misanthropie, employé à idolâtrer Nietzsche et Hobbes limitant les interactions avec le reste du monde au manque de résignation de la médiocrité qui l’entoure. L’ami, au singulier, sert aussi à lui rappeler quel génie artistique, de style et de classe il est. Tout dans ce film reflète le classique Allen. Une autre grande attente était la projection italienne
Une scène de N-Capace
Le film tourne autour des thèmes classiques du sexe, de l’école et de la religion. La protagoniste s’aventure dans un voyage existentiel qui la mène de Terracina à Rome, poussée par le déni de la mort de sa mère. En chemin, elle rencontre divers personnages dont des personnes âgées, des jeunes et est attirée par leurs visages, par les histoires de leur vie et par leurs émotions. L’un de ces anciens qu’il rencontre est son père, à qui il propose les mêmes questions qu’il propose aux autres mais laissant transparaître beaucoup de vraie vie Danco. C’est un film très intime et à certains égards très familier qui frappe le spectateur dans son cœur, dans l’enfant-moi que cachent tous les adultes.