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La plus belle école du monde : bande-annonce et interview des protagonistes

Nord et Sud, l’Italie et ses incompréhensions. Luca Miniero, réalisateur de Benvenuti al Sud et Benvenuti al Nord, revient sur grand écran avec une comédie d’ensemble. Cette fois, place aux étudiants et aux professeurs. Et qui n’aimerait pas que les enseignants Christian De Sica, Rocco Papaleo, Angela Finocchiaro et Miriam Leone. Serait La plus belle école du monde !

La parcelle.
« Filippo Brogi est le méticuleux directeur d’un collège toscan qui, pour remporter la School Cup of the Year, essaie d’organiser un jumelage avec des élèves d’Accra, au Ghana. Cependant, tout ne semble pas correspondre au programme : le concierge maladroit de l’école – avec « l’aide » de la technologie – au lieu d’envoyer la demande à Accra l’envoie… à Acerra, Naples ! Brogi, en compagnie de la jeune professeure Margherita Rivolta, se retrouve ainsi à accueillir avec la bannière « Welcome Africa » ​​une classe d’enfants napolitains sauvages, accompagnés de l’excentrique professeur Gerardo Gergale et de sa collègue Wanda Pacini ».

Le mot aux protagonistes.
Christian De Sica, qui a documenté et partagé avec les fans sur Instagram de nombreux moments du tournage avec des photos et de petites vidéos, raconte son personnage comme suit : « Je suis le directeur d’un collège dans le splendide Val D’Orcia. Tous alignés pour deux s’il vous plaît. Depuis que je suis ici, mon école est devenue la meilleure d’Italie, je veux dire d’Italie, du monde. On a gagné le concours artistique de la fête des jeunes neuf fois sur dix. Ok, ok on a perdu la dernière fois mais on va se rattraper. L’important c’est de gagner, pas de participer, ils le disent, non ? ».
Rocco Papaleo, non seulement un acteur mais un réalisateur bien-aimé, est Gerardo et enseigne la technologie. Son personnage est très similaire à Pulcinella. Voici son commentaire : « Malheureusement dans notre école il y a un directeur indomptable qui « veut nous sauver » de la fusion, un directeur qui écrit au président Napolitano, qui ne lui répond évidemment pas, mais il le croit. Tout n’est qu’un malentendu, et à la fin ils nous ont invités en Toscane pour un échange scolaire. Soyons clairs, je ne vais nulle part avec ces criminels. Je déteste le nord et ne me dis pas que la Toscane est le centre, car pour moi le nord commence d’en haut à Mondragone ».
Angela Finocchiaro, au lieu, c’est une enseignante qui avait de grands rêves et attentes vis-à-vis de l’école, tous éclipsés par de « mauvaises politiques ». « Un peu comme quelqu’un qui va en Zambie, ou à la légion étrangère » commente-t-il, « Au début j’avais de grands rêves, je voulais tout changer puis je me suis dit : l’école italienne ne marche pas, elle a de gros problèmes surtout dans le sud, ce ne sera pas moi qui le changera ? C’est mon tour aussi ? Vous le dites hein ? ».
Et enfin, Myriam Léone elle est la belle jeune enseignante, qui espère toujours une meilleure école et attend le véritable amour. « L’amour pour moi est un étranger qui vient ici et m’emmène. Et si l’inconnu n’est pas Johnny Depp de Chocolat mais Rocco Papaleo, alias Jerry, ça va. L’amour c’est lui pour moi, car il est gentil et a une grande méthode scolaire ».

Il ne reste plus qu’à attendre la semaine prochaine pour y entrer La plus belle école du monde, et que le jeu des malentendus commence. Le nouveau film de Luca Miniero sera dans les salles de 13 novembre au cinéma !

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